Smartwords a réalisé récemment pour Ambrelia une interview du docteur Philippe Biberson. A l’occasion d’un événement réalisé en commun par Ambrelia et son partenaire, International SOS, le docteur Biberson a partagé plusieurs bonnes pratiques sur la manière dont une ONG (ou tout autre association humanitaire) peut travailler pour garantir la santé et la sécurité de ses collaborateurs et bénévoles sur le terrain.
A l’occasion de la semaine mondiale de l’entrepreneuriat du 16 au 22 novembre 2015, j’ai eu l’idée de me présenter en une image.
A propos de Jérôme Delacroix
Mes activités d’entrepreneur ont en effet 4 dimensions :
les démarches et les technologies de la coopération, au travers de mon blog Coopératique
le marketing de contenu, au travers de ma société Smartwords
le travail nomade, puisque je pratique aussi bien le télétravail, que le travail chez mes clients ou en centres d’affaires (je n’ai pas encore essayé la planche de surf !)
et tout ceci sur deux thématiques de prédilection : le marketing et les systèmes d’information (IT)
Pour en savoir plus sur toutes ces dimensions, vous pouvez me suivre sur mes différents comptes Twitter : @jdelacr, @cooperatique et @smartwords.
J’ai eu un entretien ce jour avec le directeur commercial d’une société de nettoyage industriel. Cette conversation a été très intéressante car elle m’a permis de découvrir un secteur d’activité que je ne connaissais pas jusqu’alors. J’ai découvert que c’était un secteur très concurrentiel et qui recèle des enjeux forts en termes de qualité de service et de respect de l’environnement, entre autres.
J’ai pu aussi constater que l’expression « technicien de surface », souvent moquée, se justifie, en réalité. En effet, ce métier requiert une réelle technicité : savoir utiliser une motobrosse ou doser un produit de nettoyage, cela s’apprend.
Quant à la protection de l’environnement, c’est manifestement une préoccupation de plus en plus forte pour les clients de cette société. D’où de gros efforts consentis pour certifier le travail sur ce sujet-là. La responsabilité sociale des entreprises de ce secteur est aussi un enjeu de plus en plus important.
Bref, sur un sujet pas forcément sexy a priori, cette conversation s’est avérée passionnante !
Le mindmapping (ou cartes heuristiques, ou cartes mentales) est une technique que j’utilise abondamment. Qu’il s’agisse de préparer un compte-rendu de réunion, un article de blog (tel que celui-ci), de brainstormer sur un sujet, elle fait partie de mon quotidien. Actuellement, par exemple, je travaille sur une offre de formation pour ma société, Smartwords. Je suis en train de monter cette offre à l’aide d’un outil de mindmapping que j’apprécie particulièrement, Freeplane.
Freeplane est un logiciel de mindmapping dérivé (un fork)de Freemind par le créateur de ce dernier, Dimitry Polivaev. Aujourd’hui, les deux projets vivent leur vie. J’utilisais Freemind à l’origine et suis passé à Freeplane il y a quelques mois. Voici 5 raisons pour lesquelles je suis fan de ce logiciel.
1. La sobriété
Freeplane fait une seule chose mais il le fait bien : des mindmaps pour travailler. Le logiciel ne propose pas de thèmes évolués, d’outils de personnalisation graphique étendus. Il n’en jette pas plein la vue. Mais c’est justement ce que j’apprécie. Il est sobre, mais très maniable. On apprend vite à s’en servir.
2. Un logiciel libre
Freeplane est un logiciel libre. Son code, disponible sur Sourceforge, peut donc être consulté et modifié, si on le souhaite (et si on en a les capacités !). Il correspond donc à la logique de liberté qui était celle d’Internet à son origine, que j’apprécie, et qui est de plus en plus menacée. Freeplane utilise par ailleurs un format ouvert, .mm, à l’origine développé pour Freemind, ce qui entraîne une excellente compatibilité entre les deux logiciels.
3. Un logiciel gratuit
Freeplane est gratuit : pourquoi s’en priver ?
4. Une petite innovation graphique bien pensée
Mindmap ayant servi à l’écriture de ce billet Cliquez pour ouvrir en grand
Freeplane est sobre mais il n’est pas austère. Je trouve en particulier très astucieuse une petite amélioration qu’ils ont introduite dans la dernière version : les noeuds en couleur. Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec le mindmapping, les informations sont structurées, sur une carte mentale, sous la forme de noeuds (par exemple, dans la carte ci-contre, « les 5 raisons » est un noeud). Les noeuds situés à un même niveau de profondeur sont appelés des noeuds frères, et un noeud s’enfonçant plus avant dans l’arborescence à partir d’un noeud parent s’appelle un noeud fils. Eh bien Freeplane attribue automatiquement une couleur à tous les noeuds dans une même lignée. Ainsi, dans notre exemple, tous les noeuds issus d’ « Intro » sont en vert, tandis que ceux issus de « Les 5 raisons » sont en violet. Cela n’a l’air de rien, mais à l’usage, cela s’avère très pratique, surtout quand la carte devient un peu touffue. Cela contribue grandement à sa lisibilité.
5. La possibilité de faire des liens à l’intérieur de la carte
Freeplane permet de faire un lien d’un noeud vers un autre. C’est très commode pour naviguer sur les cartes, pour faire des renvois d’un thème à un autre, par exemple.
Certaines choses pourraient certainement être améliorées. Par exemple, Freeplane est actuellement assez pauvre en icônes pour illustrer les noeuds. Mais l’important est qu’il continue à évoluer en gardant ce qui fait sa force : sa simplicité. Alors longue vie à Freeplane !